Mercredi, 9 décembre 2015
Merci à Stephane Bastianetto, Ph.D. Centre de recherche, Institut universitaire en santé mentale de Montréal pour le partage de cet article
Parution d’un article sur la santé mentale « positive », l’activité physique et la santé mentale, les mécanismes biologiques et psychosociaux impliqués dans la relation activité physique et santé mentale, puis le sport comme outil de développement psychosocial.
Chez les personnes âgées, la pratique d’activité physique d’intensité modérée et régulière permet de retarder le déclin des capacités fonctionnelles et cognitives, tant chez les personnes en bonne santé que chez celles atteintes de maladies chroniques(13). En restant actives, les personnes âgées peuvent maintenir leur indépendance et leur autonomie, ce qui contribue au bien-être psychologique, à une appréciation plus favorable de sa santé mentale et au maintien des interactions sociales. Des études épidémiologiques confirment également que l’activité physique est associée à une prévalence plus faible de troubles anxieux, de troubles dépressifs et de troubles du sommeil.
Conclusion
Le développement d’interventions et de programmes qui misent sur l’activité physique dans le but promouvoir la santé mentale et prévenir les troubles mentaux courants doit tenir compte des principaux constats et recommandations qui émergent de la littérature. Il apparaît essentiel de prioriser le développement d’une culture du loisir actif qui accorde une place centrale au plaisir et de favoriser la pratique de l’activité physique dans un contexte social. Bouger plus… mais surtout, bouger ensemble et avec plaisir!
Source: Doré, I., (2015). Bouger pour être en bonne santé… mentale! Collection Topo : les synthèses de l’équipe nutrition – activité physique – poids. No. 10. Institut national de santé publique du Québec. Québec.
L’article disponible sur le site web de l’Institut national de santé publique du Québec